A l’inverse du sondage aléatoire, le sondage empirique fait appel à des méthodes de choix raisonné de l’échantillon, par exemple la méthode des quotas.
A défaut d’un pur tirage aléatoire, on a recours à la méthode empirique des quotas pour constituer un échantillon qui respecte les caractéristiques de la population étudiée. Avantage à ne pas négliger : les quotas permettent de gérer le nombre et le profil des répondants en fonction du budget !
Les résultats d’une enquête par sondage ne sont extrapolables à la population tout entière que si l’échantillon est représentatif. Or cette représentativité est liée à la méthode d’échantillonnage appliquée, probabiliste ou empirique. Quelles sont ces méthodes ?
La collecte de données sur le web étant devenue si facile et rapide, la notion de sondage est un peu galvaudée. On a tendance à oublier qu’un sondage, ce n’est peut-être pas si simple. Si en plus on cherche à être représentatif, il va falloir contrôler la structure de l’échantillon en appliquant par exemple la méthode des quotas.
Quels que soient vos objectifs et le type d’enquête à mener, vous allez devoir définir la population cible à interroger et vous chercherez à constituer un échantillon tiré de la base de sondage. En pratique, on choisira souvent une méthode d’échantillonnage empirique, la plus connue étant celle des quotas, ou des méthodes alternatives.
Réussir une enquête par quotas impose un suivi spécifique pour contrôler le niveau d’atteinte de chaque quota. Si des écarts trop importants surviennent, il peut s’avérer nécessaire d’intervenir pour ajuster les quotas, ou même en dernier ressort en libérer un.