Le post-codage aussi appelé post-codification, codification a posteriori ou encore recodage, consiste à regrouper dans des catégories, les plus homogènes possibles, les réponses données à une question ouverte.
Dans les études, enquêtes et sondages, les questions ouvertes permettent de recueillir des avis de façon détaillée. Les réponses obtenues sont souvent riches d’enseignements, pour une grande variété d’usages. Dans cet article, un tour d’horizon de leurs principales utilisations.
Pour exploiter statistiquement les réponses aux questions ouvertes, une étape incontournable : la codification a posteriori, aussi appelée post-codification, post-codage ou recodage. C’est à la base une tâche manuelle un peu longue et fastidieuse, il existe toutefois des solutions pour automatiser ces traitements.
Les questions ouvertes, en permettant de recueillir les avis des répondants de façon détaillée, peuvent être très utiles dans les questionnaires. Elles ont beaucoup d’avantages mais aussi (hélas!) quelques inconvénients que les concepteurs d’enquêtes et sondages doivent connaître.
Dans les questions d’un sondage, dans quels cas utiliser l’option « Autre » suivie de la zone de saisie « à préciser » ? C’est une ouverture intéressante quand la liste des réponses proposées ne permet pas de couvrir tous les cas de figure. Mais une codification a posteriori devient nécessaire.
Le tri à plat, qui donne la répartition des réponses question par question, est le premier traitement statistique effectué : il permet d’avoir une première idée des résultats et constitue naturellement la base des rapports d’enquête.