Dans les enquêtes et sondages, l’échelle d’attitude est utilisée pour mesurer l’intensité des opinions ou des réactions des individus sur un sujet donné. Parmi les nombreuses variantes présentées ici, la plus connue et sans doute la plus utilisée, notamment en marketing, est l’échelle de Likert.
Dans les enquêtes quantitatives, les échelles numériques sont le plus souvent utilisées pour noter ou évaluer un objet ou un concept et permettent des calculs de scores. Avec des qualificatifs opposés aux deux extrémités, l’échelle d’Osgood est utilisée dans les études de marché et enquêtes de satisfaction.
Pour déterminer les libellés des modalités d’une échelle, quelques précautions s’imposent. Tout d’abord veillez à n’utiliser que des échelles symétriques dans les termes. Soignez la formulation de la modalité neutre, l’ordre de présentation des items et surtout l’équivalence entre les échelons.
Dans les enquêtes et sondages d’opinion, on trouve fréquemment des questions sous forme d’échelles. Les plus utilisées sont les échelles ayant de 5 à 7 modalités, un bon compromis entre recherche de précision et nombre de réponses.
Induire les réponses, c’est influencer les répondants par les termes utilisés dans le libellé des questions ou les réponses proposées. Pour obtenir des données fiables, un maître mot : la neutralité.
Les questions sous forme d’échelles sont très utilisées dans les sondages pour obtenir des réponses sur les attitudes ou opinions des individus. On les retrouve notamment dans les études de marché et les enquêtes de satisfaction.
Dans un questionnaire d’enquête, les échelles paires et impaires ont chacune des avantages et des inconvénients, votre choix dépendra de la nature de la question et de vos objectifs. Avec sa modalité neutre, l’échelle impaire permet d’opter pour un avis médian alors que l’échelle paire force le choix du répondant.