L’analyse des questions ouvertes et des verbatims représente un défi majeur dès que les volumes textuels sont conséquents. Les méthodes traditionnelles sont dépassées, les outils de text mining supplantés par l’IA générative qui permet aux entreprises de tirer pleinement parti des données riches fournies par leurs clients ou employés.
Historiquement, les créateurs d’enquêtes utilisaient la post-codification, une méthode manuelle et laborieuse pour exploiter statistiquement les réponses aux questions ouvertes. Des solutions automatiques de text mining sont apparues dans les années 2000 et ont joué un rôle crucial dans l’analyse des verbatims.
Dans les études, enquêtes et sondages, les questions ouvertes permettent de recueillir des avis de façon détaillée. Les réponses obtenues sont souvent riches d’enseignements, pour une grande variété d’usages. Dans cet article, un tour d’horizon de leurs principales utilisations.
Les questions ouvertes, en permettant de recueillir les avis des répondants de façon détaillée, peuvent être très utiles dans les questionnaires. Elles ont beaucoup d’avantages mais aussi (hélas!) quelques inconvénients que les concepteurs d’enquêtes et sondages doivent connaître.
Dans un questionnaire en ligne, comment inciter à répondre à une question ouverte ? Pour y parvenir, quelques astuces et surtout un effort de communication pour motiver les répondants.
Voici une utilisation différente de la question ouverte : elle permet de briser la monotonie d’une enquête ou sondage en donnant de la variété au questionnaire. Cette façon de procéder peut éviter la lassitude des répondants ou phénomène de click through.