Un répondant est une personne qui répond à un questionnaire. Dans les enquêtes en ligne, on emploie ce terme plutôt que celui d’interviewé (qui veut dire la même chose).
Votre questionnaire est fin prêt ? Le recueil des réponses peut démarrer… Quels que soient les canaux et moyens que vous choisissez, il faut déployer une stratégie de communication adaptée de manière à avoir un maximum de répondants et ainsi obtenir des résultats d’enquête pertinents et fiables.
Un bon questionnaire doit permettre une bonne exploitation des réponses, voilà l’idée principale qui doit vous guider lors de sa conception. Dans les enquêtes en ligne, l’ergonomie revêt une importance particulière : le questionnaire doit intéresser les répondants et les inciter à aller jusqu’au bout.
Dans les enquêtes en ligne, la présentation sous forme de question tableau permet de regrouper en une seule question des questions répétitives qui pourraient être lassantes pour le répondant. Utilisez cette astuce sans modération !
Le questionnaire est en lui-même une source de biais parfois importants, son élaboration est donc une phase clé de votre enquête. La construction du questionnaire et la rédaction des questions obéissent à des règles fondamentales.
Les réponses factices sont difficiles à repérer et peuvent fausser les résultats d’enquête. Pour les éviter, ne sur-estimez pas vos répondants en leur demandant de s’exprimer sur des sujets qu’ils ne connaissent pas ou qui ne les concernent pas.
Il est difficile de fixer LA longueur optimale d’un questionnaire car elle varie selon la cible et le sujet. Pour les enquêtes grand public, on conseille en général de rester entre 5 et 10 minutes, soit 15 à 20 questions environ. En milieu professionnel, les enquêtes peuvent être plus longues.
Le wording : ce terme anglais désigne tout simplement le choix des mots ou le phrasé si vous préférez. L’enjeu est de rendre les questions claires et directement compréhensibles par tous les répondants. Pour y parvenir, suivez ces quelques règles fondamentales et surtout faites des tests !
Question dichotomique : sous ce nom savant se cache en fait une des questions les plus simples, très souvent utilisées pour débuter une enquête ou poser des questions qualifiantes. Il s’agit de la question fermée avec deux propositions et une seule réponse possible (oui/non, pour/contre, etc.).
Une présentation soignée et agréable à l’œil constitue indéniablement un atout pour inciter les répondants à remplir votre questionnaire en ligne. Dans cet article, je vous dévoile les bonnes pratiques des spécialistes des études et sondages.
Induire les réponses, c’est influencer les répondants par les termes utilisés dans le libellé des questions ou les réponses proposées. Pour obtenir des données fiables, un maître mot : la neutralité.
La méthode de la boule de neige consiste à diffuser votre questionnaire d’enquête à des personnes ayant les caractéristiques que vous recherchez puis de leur demander de le diffuser à d’autres personnes de profil similaire. Avantages et inconvénients de cette alternative aux méthodes d’échantillonnage classiques…
Comment ? Pourquoi ? Qui ? Quand ? Quoi ? Ce sont les 5 questions à se poser absolument pour préparer une enquête ou un sondage. Prenez donc quelques instants pour lire cet article avant de vous lancer tête baissée dans la rédaction du questionnaire : c’est un gage de réussite.
Tester le questionnaire, voilà une étape essentielle mais simple à réaliser. Même si la réalisation d’une enquête en ligne est peu coûteuse, il serait dommage de devoir tout recommencer faute d’avoir identifié en amont un problème dans la structure du questionnaire ou la rédaction des questions.
La méthode est simple et efficace, il s’agit d’envoyer un e-mail à la liste des contacts que vous ciblez pour les inviter à répondre à votre questionnaire. Le véritable enjeu : un message d’invitation motivant !
La technique de l’entonnoir, qui va du général simple au précis compliqué, est l’une des plus utilisées pour structurer les questionnaires. On parle aussi parfois de structure en « sablier » quand on termine avec des questions d’ordre général comme des questions signalétiques sur le profil des personnes interrogées.